Salle de restaurant [intérieur de la taverne]

-Excuser moi, dit Bouya a Ellenwen, il se retourna vers Tenaka, et rigola.

Il sortit, 10 pièce d'or, les tendis à Tenaka.

-Aller je paie la tournée, en se retournant vers le barman, 3 bières s'ilo vous plais.

Merci bien!

C est tres aimable a vous!

Tenaka regarda en coin les orcs...

En voyant Tenaka, Bouya rajouta:

-Ils ne sont pas très aimé dans le coin.

(j'ai mon baaaaaaaaaaaaaaaaaaaac ! mention très bien !!!!!!!! Very Happy

)

Ellenwen resta dans son coin. Elle se moquait de la tournée générale, elle n'aimait de toute façon pas l'alcool et encore moins la bière.

OUi je sais. moi meme je ne les aime pas du tout...

(bravo Ellenwen!... moi je veux savoir quelle mention j ai eu au brevet >< )

(*croise les doigts pour toi*)

Ellenwen acquiesça et ajouta en sourdine.

-Je ne vois pas qui pourrait les aimer... A part dans le Modor, pays de dingues....

C est bien vrai... qui pourrait les aimer. Ces etres sans coeur, ni humains ni bestiaux. On ne peut les qualifier avec des mots...

Un sourir ironique s'afficha sur les lèvres de Shegyaras quand il entendit les mots de Tenaka. Sans pouvoir s'en empécher, Shara répondit ce que eux deux pensaient.

- Acun mot pour les qualifiers, dis-tu ? Est-ce parce qu'il n'y a vraiment aucun mots, ou simplement parce que l'homme n'a jamais eu le courage de les décrire. Tu les dis sans coeur, mais que sais-tu d'eux ? Ce n'est pas sur le champ de bataille que tu apprendra à les connaitre, qui sais peut-etre que pour eux nous sommes nous aussi sans coeur. Quand à qui pourrait les aimer, ces personne existe, ceux sont ceux qui ont réussit a surmonter leur peur de l'inconnu.

Ellenwen eut un rictus de dégout et de tristesse mêlée. Elle commenta avec douceur et ironie amère.

-Si. Il y en a un. Mal.

Ellenwen regarda Shara avec tristesse et étonnement. Elle haussa les épaules. Elle dit doucement.

-Ce serait vrai pour tout autre personne qu'eux. Shara j'ai assisté à leur création... Ils ne peuvent être autre chose que mal parce qu'ils ont été crée pour et n'ont jamais rien connu d'autre, peut-être. Peut-être que si on leur montrait autre chose ils seraient autre chose. Mais pour l'instant ils ne le sont pas.

Elle fut étonner d'entendre ca, mais après tout, chacun tirais ses conclusion de ses propres expériences. Et ces conclusion ne pouvais changer qu'avec de nouvelles expériences. Dans un murmure a penne audible, comme si elle n'avait plus la force de parler, elle continua cependant.

- Le Bien et le Mal, mais qui a donc inventer ces mots si ce n'est l'homme pour ce donner le droit de juger de tout ? Les actes d'une personne ne peuvent etre apréhender que par un de ses semblable. Mais les hommes, dans leur arogances, ce sont octroyer le droit de juger des autres, comme si ils étaient des Dieux. Tu me dis que les orcs sont le Mal, mais qu'en est-ils des humains ? Ne commettent-ils pas eux aussi des actes ignobles ? Le Bien et le Mal ne sont que deux contexte éroné et arranger à l'avantage du plus intelligent.

OUais... tout ce que je sais. C est que l homme juge selon son point de vue. Le point de vue change selon les etres et les races. Pour certaines personnes le mal peut etre le bien, et inversemment. Tout acte peut etre jugé d autant de maniere qu il y a de point de vue.

Bouya qui était resté à présent très silencieux pris la parole.

-Selon les espèces, il y a une définition du bien et du mal. En tant qu'homme nous savons qu'il y a des gens de bien et des mauvaises personnes. Et d'après la définition du mal que se sont fait les hommes, les orcs en font partis.

Ellenwen fronça légèrement les sourcils. Ce que disait Shara était très vrai et très sincère mais... dans l'absolu. On avait beau développé de belles théories philosophique, parlé de bien et de mal, de justice, de jugements, la réalité n'en demeurait pas moins la même. Que les orcs soient le bien ou le mal, qu'ils soient jugés par des elfes, des nains ou des humains leurs actes restaient criminels. Bien sur ils avaient toujours vécus ainsi, bien sur pour eux cela était normal. Mais ils détruisaient et répandaient tout de même la mort sur leur passage.

-Je ne suis pas d'accord avec toi Shara. Nul n'a besoin d'être un Dieu pour juger. Chacun a le droit de juger de ce qu'il voit et de ce qu'il observe à condition qu'il ne pousse pas les autres à partager son point de vue. Mais nous jugeons tous, parfois même sans le rendre compte. Dire que quelqu'un est un ami est un jugement de valeur par de nombreux côtés. Et comme le dit Bouya ou Tenaka, chacun a sa version du bien et du mal. Je suis sure que les orcs considèrent leurs actes comme très bien. Alors bien sur dire que les orcs sont le mal n'est qu'un point de vue, rien que le mien. Pas une vérité incontestable. Je ne les diabolise pas pour le plaisir, je sais très bien que ce qu'ils font leur parait normal, je sais qu'ils n'ont jamais rien connu d'autres. Mais je ne pense pas que l'on ne puisse pas dire que c'est le mal quand on voit qu'ils tuent, pillent et détruisent sans chercher à comprendre pourquoi, simplement parce que ce sont les ordres. Ne pas les juger reviendrait à se condamner à la passivité, à subir le sort qu'ils veulent nous imposer, en clair regarder tous ses proches mourir sans rien faire en attendant de mourir aussi. Quand aux hommes évidemment que certains sont le mal, évidemment que certains sont pires que des orcs. Ou m'as-tu vu le nier ? Simplement en règle générale ils sont plutôt à tendance pacifique et ne souhaitent que vivre avec leur famille.

*... Vivre avec leur famille.* Quand elle entendit ces mots, toute volonté de continuer la conversation la quita d'un seul coup. C'est comme si son passer revenait à la charge, mais cette fois-ci en plus grand. La soufrance, le peur, le sang, la désolation, elle avait enfouit toute ces choses en même temps que son frère pour ne plus les revoir. Mais seul l'idiot pense pouvoir ce libérer de son passer, commencer une nouvelle vie en repartant de zéro est impossible. Sans même le vouloir, le bâton s'échapa de ses main et tomba lourdement sur le sol, et Shegyaras s'affaissa sur le fauteuil qu'il venait juste de quiter.

Narya eut soudain un léger mal de tête.

- Je sens qu'il y a quelque chose qui ne va pas au Gondor, la Terre de mes parents... Je dois aller voir ce qu'il s'y passe. Si une personne qui sait transplaner veut bien m'accompagner, qu'il vienne avec moi.

Elfe - Chef des orques Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 21/01/2007

"moi je veut bien"

- Vous voulez venir ? Mais vous ne savez pas transplaner... Si vous voulez, vous pouvez partir devant et on vous y rejoindra.

-Je peux vous accompagner !
Répondit Bouya à l'appel de Narya.

Ellenwen eut une légère moue. Elle serait bien partie avec eux mais elle devait rester pour aider Shegyaras. Ou Shara. Elle fit donc un geste négatif de la tête.

-Non, je reste ici aider Shegyaras... Désolée...

Elle se dirigea vers celui-ci et le rassit mieux dans son fauteuil en poussant un très léger soupir étouffé. Puis elle le secoua doucement pour le faire revenir à lui. Dans le même temps elle lui remit doucement son bâton dans les mains. Celui-ci paraissait avoir une grande importance pour le jeune homme et sa soeur. Comme s'il catalysait en quelque sorte leur énergie.

Narya regarda le Professeur Bouya.

- Vous avez acheter vos armes ? Je pense que vous en aurez besoin.

Avant de répondre à Narya, Bouya se sortit sa baguette et se pencha sur Shegyaras.

-Enervatum ! dit il en pointant la baguette sur lui. Vous vous sentirez mieux.

Puis en se tournant vers Narya.

-Oui, j'ai mes armes grace à Tenaka, et elles sont superbes.

- C'est parfait, nous pouvons y allez. Nous allons nous rendre directement à l'endroit où je sens qu'il y a un problème.
Au revoir tout le monde ! Et ceux qui reste, passez le bonjour à Grmin de ma part !

Narya sortit de la taverne et disparut dans un *plop*

-Et bien mes amis, je vous souhaite le bonjour et j'espère nous revoir très vite !!

Puis Bouya suivi Narya dans un plop !

Elfe - Chef des orques Nombre de messages : 32 Date d'inscription : 21/01/2007

Je parti de la taverne en direction du gondor

Bien qu'aillant le bâton en main, ce qui l'aidait a ne pas trop penser à des chose douloureuses, Shara en vient à remarquer une question qui sortait du lot. Une question à laquel il est toujours trés difficile de répondre. Dans un murmure a penne audible, elle la noma comme pour la poser concrètement.

- Shegyaras, saurais-tu me dire pour quel résond nous vivons ? Puis elle rengea son bâton en un instant.